AFFICHE POSTER MOTO YAMAHA V-MAX V MAX 1200 PERIOD ORIGINAL MADE in JAPAN BURN
affiche

AFFICHE POSTER MOTO YAMAHA V-MAX V MAX 1200 PERIOD ORIGINAL MADE in JAPAN BURN

AFFICHE POSTER MOTO YAMAHA V-MAX V MAX 1200 PERIOD ORIGINAL MADE in JAPAN BURN
AFFICHE POSTER MOTO YAMAHA V-MAX V MAX 1200 PERIOD ORIGINAL MADE in JAPAN BURN
AFFICHE POSTER MOTO YAMAHA V-MAX V MAX 1200 PERIOD ORIGINAL MADE in JAPAN BURN
AFFICHE POSTER MOTO YAMAHA V-MAX V MAX 1200 PERIOD ORIGINAL MADE in JAPAN BURN

AFFICHE POSTER MOTO YAMAHA V-MAX V MAX 1200 PERIOD ORIGINAL MADE in JAPAN BURN
Pas de copie – pas de repro. 103 X 55 CM. Poster original, imprimé par la firme. Vous pouvez nous contacter pour la sauvegarde de vos affiches. (photos de notre travail et devis sur demande). Et société par actions. 858 786 MJPY fin septembre 2019. 432 967 MJPY en 2018. 13 800 MJPY en 2018. Est une entreprise japonaise opérant dans de nombreux domaines, parmi lesquels les instruments de musique. (son activité première), les motos. Et les appareils électroniques grand public. Elle a été fondée en 1887. Par un horloger pour la fabrication d’ orgues. Torakusu Yamaha, mais s’est diversifiée à partir de la Seconde Guerre mondiale. Elle est devenue, depuis, une multinationale. Le siège de Yamaha, à Hamamatsu. Sous le nom de manufacture Yamaha fûkin. Manufacture d’orgues Yamaha. , elle a été fondée en 1889 par Torakusu Yamaha. Dans la préfecture de Shizuoka. Torakusu Yamaha, horloger et mécanicien, avait remporté en 1887. Un franc succès en réparant l’ harmonium. D’une des écoles de la ville. L’entreprise fabrique cette année-là 250 instruments. En 1891 elle est renommée manufacture Yamaha gakki. Manufacture d’instruments de musique Yamaha. Dans le but de se lancer dans la fabrication d’autres instruments, puis en 1897, la manufacture devient une société par actions baptisée Nippon gakki seizo. Nippon gakki seizo kabushiki gaisha. En 1900, Yamaha revient des États-Unis. Après une année passée à apprendre le métier de facteur de piano. L’entreprise se met alors à vendre ses premiers pianos droits et, deux ans plus tard, des pianos à queue. Forte de ce succès, elle continue donc de se diversifier en fabriquant d’autres instruments : harmonicas, xylophones. Torakusu Yamaha, meurt à Tokyo le. À l’âge de 64 ans. En 1930, la Nippon Gakki crée son propre laboratoire d’acoustique. Durant la deuxième guerre mondiale, l’entreprise est forcée de fabriquer des hélices d’avions et de 1944 à 1947 elle ne produira plus aucun instrument. Après la guerre, la croissance économique est importante, la société planche sur différents produits lui permettant de se diversifier machine à coudre, automobile. En 1955, Nippon Gakki est rebaptisée « Yamaha » en l’honneur de son fondateur et lance sa première motocyclette, l’ YA-1. Yamaha accroît son actionnariat dans MBK industrie. S’en rendant propriétaire. Yamaha rachète le fabricant de batteries et percussions anglais Premier Percussion Limited. Et le revend en février 1995. Redeviendra une société complètement indépendante en rachetant les parts de Yamaha. Lors de la création de Yamaha Motor Corporation. L’activité motos et moteurs se sépare. Cette scission se fait par échange d’actions avec Toyota. Yamaha rachète le facteur autrichien de pianos Bösendorfer. Pour quinze millions d’euros. Yamaha rachète le fabricant américain d’effets pour guitares Line 6. De la marque, qui représente trois diapasons. Entrecroisés, rappelle les débuts de cette entreprise qui aujourd’hui est l’un des deux plus grands fabricants de pianos au monde, environ 130 000 unités par an. Liste des principaux actionnaires à fin. Asset Management One Co. 125 YA-1, première moto Yamaha. L’histoire de Yamaha Motor commence par la 125 YA-1 de 1955, largement inspirée, comme d’autres avant elle BSA. RT 125 allemande de 1939. Contrairement à Honda, Yamaha est, au début, un spécialiste du moteur 2-temps. Comme deux autres japonais Suzuki. Ses machines de série ont tout de suite été réputées pour leur vivacité et leur fiabilité. Yamaha arrive sur le marché européen à la fin des années 1960. Avec une gamme de petites et moyennes cylindrées 2-temps, cylindres en fonte, dont. 125 YA5 puis YA6 monocylindre. 250 YD2 ET YD3 puis YDS1 bicylindre. Ces machines sont originales, avec très tôt une lubrification par injection d’huile (système autolube) et non par mélange. Dès 1970, ces machines évoluent par l’adoption de cylindres en aluminium. 125 AS3 (1971), AS3 Europa (1972, réservoir plus large), puis RD (admission par clapets), enfin RDX frein à disque. La 350 RD après adjonction d’une admission par clapets, deviendra rapidement la 400 RD à la suite d’une augmentation de la cylindrée ; bizarrement, la nouvelle boîte à six rapports de cette dernière restera en France limitée à cinq vitesses. 250 et 350 RD, puis 350 RDLC. (1980), introduisant le refroidissement liquide, et la suspension cantilever. Inspirée des Vincent HRD. Puis le système YPVS (Yamaha Power Valve Système) des valves à l’échappement. Durant les années 1980, la 125 RD bicylindre à refroidissement par air sera remplacée par la 125 RDLC monocylindre six-vitesses dotée d’un carénage tête de fourche et d’un refroidissement liquide et d’une suspension cantilever. Celle-ci est remplacée fin 1987 par les 125 TZR et 250 TZR bicylindre, entièrement carénées. Du moteur de la dernière est issu celui de la 250 TDR. DT 125 MX, DT 125 type 10 V première 125 à rallier Dakar classée lors du Paris-Dakar. 1984 et DT125LC (frein à disque). RD 200, modèle peu répandu avec démarrage électrique. Motorisée par un bicylindre à refroidissement liquide. Yamaha travaille beaucoup sur la technique du 2-temps, avec l’admission par clapets et les valves d’échappement YPVS étudiées afin d’ajuster l’accord admission/échappement. Yamaha s’essaye avec succès au 4-temps. Sort en 1969 et poursuit sa carrière jusqu’en 1982. Pour contrer le succès de la Honda CB 750 Four. Yamaha sort en 1972 la 750 TX, un échec à cause d’une mécanique fragile. Les années 1970 voient aussi l’arrivée de Yamaha en tout-terrain modèles trail. : DT 360 en 1973, DT 125, qui évolue en DTMX. En 1975, Yamaha relance la mode du gros monocylindre avec la Yamaha XT 500. Trail et ses dérivés XT 550. XT 660 R et X, Ténéré, SR 500. En 1977, Yamaha sort la XS 500, bicylindre 4-temps à deux arbres à cames en tête et huit soupapes, et la XS 750, tricylindre 4-temps à transmission par arbre et cardan, qui évolue en 850. En 1978 sort la 1100 XS reconnaissable par son phare rectangulaire. Sa cylindrée audacieuse en fait la plus grosse cylindrée japonaise de l’époque. GTS 1000 et son monobras avant. En 1983, Yamaha sort la 900 XJ qui évolue, en 1984, avec un carénage tête de fourche fixé au cadre, des simplifications techniques et une augmentation de la cylindrée au bénéfice de la souplesse et du couple. Existent également la 650 XJ, la 750 XJ Séca sans carénage, mais transmission secondaire par cardan également, la 400 et 600. (transmission secondaire par chaîne). Ils continuent à produire la. Jusqu’en 1994 et la remplacent ensuite par la. Yamaha continue à innover. Moteur bicylindre en V. À refroidissement liquide avec la XZ 550. Moteur turbo sur la XJ 650 (sans plus de succès que ses concurrents). Moteur à cinq soupapes par cylindre. Sur la FZ 750 en 1985. Sur la FJ1200 en 1990. Et son système de suspension monobras avant, son étrier de frein avant six pistons, l’injection et un pot catalytique. Le premier scooter GT sportif en 2001 : le TMAX. Embrayage semi-automatique géré électroniquement proposé sur la FJR1300 en 2007. La XV 950 « Bolt » en 2013. Moto à trois roues apparue en 2018, capable d’une prise d’angle de 45°. SR 500 1992: version routière dérivée de la XT 500. XJ 600 S 1996 (version US). WR 250 R 2008. BOLT Cafe Racer au Tokyo Motor Show 2013. MWT-9 Niken au Tokyo Motor Show 2015. Yamaha récolte de nombreux succès en Grand Prix Jarno Saarinen. Avec les TZ, proches des modèles de série au début. Sur une RA31 à quatre cylindres. Il sera aussi le premier à dépasser les. Et un doublé 125 et 250. Gagna le titre mondial 125 en 1973. Yamaha produit également des scooters. En France, Yamaha commercialise également ses scooters 50 et 125. Sous la marque MBK. (Booster, Skycruiser, Evolis et Skyliner, Tryptik, identiques aux Yamaha BW’S, X-Max, X-City, Tricity). Giggle, NEOs, Aerox R, Aerox Race Replica, BW’s. Naked, BW’s 12 pouces, BW’s Original, BW’s Next Generation, Slider Naked Tzr. Breeze Jog R, Jog RR, Dt50x, Dt50r et TZR 50. X-Max 125, Majesty 125, Cygnus X, X-City 125, Vity, BW’S 125, YZF R125. Wr 125, SR 125, YBR 125 125 yze, mt125, 125tzr N max 125. Tricity 125, tri-z 250, tri-z 350, tri-moto, ytm. Majesty 400, X-Max 250, X-Max 300, X-Max 400, X-City 250. Yamaha s’est lancée dans la fabrication de motoneiges. Voulant profiter de la popularité croissante de ce véhicule, la compagnie produit la SL-350 propulsée par un moteur 2-temps bicylindre. C’était la première motoneige avec un carburateur à valve latérale. Le modèle SR433 de haute performance est introduit pour les courses. Le modèle SRX440 place ce fabricant à l’avant-garde dans les circuits de courses. Le quartier général de la division des motoneiges se trouve à Cypress. Yamaha est le leader mondial des motoneiges 4-temps. Est une société d’ingénierie automobile filiale de Yamaha qui a développé des moteurs de compétition destinés à la Formule 1. De 1982 à 1997, la société a été dirigée par John Judd. Qui possédait déjà sa propre officine de conception de moteurs Judd. De fait, à partir du moment où Yamaha a décidé de s’investir sous son nom propre en F1, les moteurs conçus par Judd étaient soit baptisés « Judd », soit badgés « Yamaha ». Les écuries de F1 ayant couru avec un Yamaha sont les suivantes. Des moteurs Yamaha animent certains modèles d’automobiles Volvo. Surtout, Yamaha a étudié plusieurs moteurs à caractère sportif pour Toyota. (les Celica) et la voiture de sport Lexus LFA. Dotée d’un V10. Yamaha est un des leaders dans le moteur hors-bord. La gamme comprend une cinquantaine de modèles de moteurs 4-temps et 2-temps, et des petits moteurs électriques. Les moteurs sont dotés notamment de Starter PrimeStart pour démarrer, d’un système de commande de régime variable, de jauges réseau numérique et de microprocesseur de commande de moteur ECM (Engine Control Module). Forte puissance : XF375 / XF425, F225 / F250/ F300. Moyenne puissance : F150 / F175 / F200, F115 / F130, F80 / F100, F70, FT50 / FT60, F50 / F60, F30 / F40. Transportables : F2.5, F4 / F5 / F6, F8 / F9.9, F15, F20 / F25. Moteurs électriques : M12 / M18, M20 / M26 / M32, MX18, MS20. Instruments à cordes frottées. Série MOTIF (MOTIF, MOTIF ES, MOTIF XS, MOTIF XF), série SY dont le SY77. Et le haut de gamme SY-99. Qui utilise la synthèse vectorielle, SHS-10. Avec la série QY du plus petit, le QY10. Aussi gros qu’une cassette, au modèle haut de gamme QY700. Produites par Yamaha Drums. Notamment le YAS 62 (le plus répandu de la marque), les Custom 875 EX & 82 Z, ainsi que des modèles d’études (23, 25, 275, 280) très courants en école de musique. Instruments de musique divers, dont des trompettes. Logiciel de synthèse vocale. Piano à queue Disklavier DC6 Mark IV Pro. Guitare électrique Pacifica 112. Guitare électrique RGX 521. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Un circuit intégré YM2612. Le processeur Yamaha XG. Qui a révolutionné la technologie MIDI. En informatique musicale, est employé dans nombre de cartes son. Synthétiseurs et claviers numériques. Utilisé dans l’ Atari ST. Et le ZX Spectrum. Utilisé dans la cartouche MSX-Audio pour MSX. (ou OPLL) utilisé dans la cartouche FM-PAC pour le MSX. (ou OPL2), utilisé dans les cartes son AdLib. Et les premières Sound Blaster. (ou OPL3), utilisé dans les cartes son Sound Blaster. Pro 2.0 et ultérieures. (ou OPL4) toujours utilisées de pair avec un YMF262, utilisé dans la cartouche Moonsound pour MSX. Utilisé dans certaines cartes son d’entrée de gamme. Table de mixage Yamaha MC2403. Analogiques et numériques la révolution Promix 01 en 1990 et plus récemment les 01V. DM2000 et la LS9. Un processeur home cinema. Avec son surround, produit en 1985. Et home cinema (RX-A3060.). Systèmes Hi-Fi compacts MusicCast MCR-N870D, MusicCast MCR-N470D, etc. Enceintes passives Hi-Fi (gamme Soavo) et caissons de basses. Lecteurs de disque (CD, DVD, Blu-ray). Yamaha ISX-800, système audio. Restio ISX-80, système audio, enceinte sans fil connectée et contrôlable via l’application MusicCast Controller.
AFFICHE POSTER MOTO YAMAHA V-MAX V MAX 1200 PERIOD ORIGINAL MADE in JAPAN BURN